dimanche 7 février 2010

Résumé de twitter 2.

Guetteuses, "mules", agents financiers : au Mexique, le trafic de drogue compte toujours plus de femmes. LE MONDE | 29.01.10 | 15h29.

Les femmes d'une façon surprenante sont devenus la structure principale des organisations mafieuses. Des noms comme Sandra Ávila Beltrán surnommée "Reine du Pacifique" et Enedina Arellano Felix, sont deux exemples de la puissance, dans l'affaire louche du blanchiment d'argent et le contrôle des routes maritimes qui conduisent la cocaïne de Colombie aux États-Unis et d'autres commerces du trafic de drogues où elles sont celles qui occupent des postes importants au sein des cartels, chez les jeunes Mexicaines qui aspirent désormais à participer au business.

Les femmes de second rang sont le plus souvent informatrices, revendeuses et recruteuses ou porteuses d'une petite quantité de drogue, certaines seraient même utilisées comme appât pour distraire les douaniers afin de permettre à un gros chargement de passer parce qu'elles éveillent moins l'attention des autorités que les hommes. En même temps, on remarque la réaction et la tendance machiste du négoce. Le coût de ce phénomène est-ce que les prisons se peuplent de criminelles incarcérées pour trafic de drogues.

La féminisation du trafic de drogue et l´itinéraire criminel a aussi inspiré des films, des séries télévisées et des livres à succès pour donner le change de l'équilibre social du pays, puisque la femme transmet des valeurs morales dans les familles mexicaines.

Par Renata.

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