Tous les mexicains qui appartiennent à des affaires de tourisme au moins les plus importants sont arrivés à Bruxelles lundi passé à la rencontre du marché au cours d’un workshop organisé dans les locaux de l’ambassade du Mexique à Bruxelles. Tous des réceptifs, hôteliers, compagnies aériennes et autres prestataires du Mexique, des tour-opérateurs, aussi, français et belge.
Jorge Lombard-Moutte est le directeur Conseil de Promotion du Mexique en appellation contrôlée de l’Office national du tourisme qui, basé à Paris, gère les marchés francophones d’Europe et la Russie. Pour la deuxième fois, et depuis la crise sanitaire du Mexique avec l’épidémie de grippe (le tourisme qui est la troisième source de revenus des Mexicains derrière le pétrole et l’argent des émigrants, est tombé sur la tête) l'objectif est de constituer l’endroit idéal pour ce genre de manifestation, où les exposants n’avaient guère de place pour exposer, et où tout le monde se marchait un peu sur les pieds. Le touriste belge ne s’en est pas laissé compter. Malgré la crise qui s’annonçait, le marché belge a très bien répondu, se réjouit Jorge Lombard-Moutte: "les Belges n’ont pas cédé à la paranoïa ambiante. C’est la crise économique, en réalité, qui a plombé la destination sur le marché belge".
Si les tour-opérateurs permettent au Mexique d’atteindre une masse critique, le pays n’en développe pas moins des produits plus pointus, dont une douzaine de nouveaux circuits. "Notre but est de positionner le Mexique davantage comme une destination culturelle et de haut de gamme", explique encore Jorge Lombard-Moutte.
Un créneau qui devrait, selon lui, parler aux touristes belges, toujours à la recherche de découvertes et friands de gastronomie.
Par Renata.
Jorge Lombard-Moutte est le directeur Conseil de Promotion du Mexique en appellation contrôlée de l’Office national du tourisme qui, basé à Paris, gère les marchés francophones d’Europe et la Russie. Pour la deuxième fois, et depuis la crise sanitaire du Mexique avec l’épidémie de grippe (le tourisme qui est la troisième source de revenus des Mexicains derrière le pétrole et l’argent des émigrants, est tombé sur la tête) l'objectif est de constituer l’endroit idéal pour ce genre de manifestation, où les exposants n’avaient guère de place pour exposer, et où tout le monde se marchait un peu sur les pieds. Le touriste belge ne s’en est pas laissé compter. Malgré la crise qui s’annonçait, le marché belge a très bien répondu, se réjouit Jorge Lombard-Moutte: "les Belges n’ont pas cédé à la paranoïa ambiante. C’est la crise économique, en réalité, qui a plombé la destination sur le marché belge".
Si les tour-opérateurs permettent au Mexique d’atteindre une masse critique, le pays n’en développe pas moins des produits plus pointus, dont une douzaine de nouveaux circuits. "Notre but est de positionner le Mexique davantage comme une destination culturelle et de haut de gamme", explique encore Jorge Lombard-Moutte.
Un créneau qui devrait, selon lui, parler aux touristes belges, toujours à la recherche de découvertes et friands de gastronomie.
Par Renata.
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